Fahrenheit 451 de Ray Bradbury
451 degrés Fahrenheit représentent la température à
laquelle un livre s'enflamme et se consume.
Dans une société d’un futur proche, la lecture,
source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte
antisocial. Aucun livre n’est autorisé, et les pompiers (autrefois chargés
d’éteindre les feux) sont chargés de les brûler.
Mon avis
Les gens ne réfléchissent plus par eux-mêmes, ils se
contentent de l’opinion officielle et se complaisent dans l’indifférence de
tout.
Montag, le pompier de son Etat, se met pourtant à rêver
d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire. Il
devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement poursuivi par une
société qui prône le plaisir immédiat et l’hyperconsommation.
La société vend du « bonheur » aux gens sous
forme de toute sorte de produits (Montag s’endette pour une télévision). Et
plus grave, on vend la guerre comme une banale excursion.
Ce livre est une pure merveille dans le genre
littérature d’anticipation. Cela fait réfléchir sur l’importance des livres, de
leur contenu, du savoir qu’ils renferment et qu’ils permettent de transmettre.
Il rappelle qu’une société ne devrait jamais accepter de perdre le droit de
lire.
Et surtout, il intime à l’homme de regarder le
monde ! Voyez la nature, elle regorge de mille merveilles, bien plus
exceptionnelles que tout ce que vous pourrez acheter. C’est là que réside le
vrai bonheur !
Lily
Bonne lecture!
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